lundi 18 novembre 2019

Un point de passage en novembre

Voilà presque six mois que je n'étais pas revenu sur mes activités de scribouillard, et ça tombe bien, j'ai pas mal de choses à évoquer en cette fin d'année.


La technique des petits pas

Après un gouffre d'inspiration fort long et désagréable, j'ai retrouvé ces derniers temps un rythme plaisant d'écriture. Plutôt que de me mettre la pression pour finir mes projets, j'ai décidé d'écrire à nouveau pour écrire, avec la technique toujours efficace de rédiger une phrase par jour. 
Autre tentative : relire ce qui a déjà été écrit en version papier, afin de corriger bien entendu, mais aussi de rester au contact du texte. Cela coûte cher en impression, certes, mais la technique permet également d'avancer à son rythme et demande un exercice moins exigeant que du créatif pur.

Tous ces petits trucs m'ont permis de me remettre en selle et de briser le cercle vicieux de moins de temps - stress d'écrire - syndrome de la page blanche - donc moins de temps... 

Le souffle des parutions

Bien entendu, les sorties coup sur coup de l'anthologie Chevaliers Errants et de Monsieur Jean des étoiles ont largement contribué à cet élan. Surtout que les deux publications se portent plutôt bien et que les premiers retours font très plaisir, à l'image de ce commentaire Amazon pour Monsieur Jean :


Deux projets avancent

Mon roman de piraterie a repris une douce avancée. Avec les relectures qui me permettent de couper, comme un monteur, certains passages, ou au contraire d'en faire avancer d'autres, le texte approche les 670 000 signes. La bête n'est toutefois toujours pas repue et je pense terminer sur le fil des 700 000 signes, au moins. Ce qui pose la question de savoir comment vendre un plus gros produit à un éditeur, on verra ça quand ce sera bouclé...
Je vois en tout cas toute la difficulté que m'aura causé ce manuscrit. Je pense que l'écriture dans l'ordre chronologique ne me correspond définitivement pas. Ça marche quand tu as une histoire très cadrée, avec un plan, ce que je n'aime pas faire. Je paie cette impréparation. Il est plus simple d'avoir un produit brut à retravailler ensuite, même plusieurs fois, ça me correspond mieux. 

L'autre roman, B.A.S.C., qui traite de super vilains qui attaquent Strasbourg, a dépassé les 220 000 signes. Conçu comme un projet court, il ne devrait pas dépasser les 300 000 signes, autant dire que je suis bien avancé.

Paradoxalement, je vais peut-être me retrouver à finir B.A.S.C. d'abord, ce qui était inimaginable en début d'année....

On se retrouve bientôt pour d'autres infos !

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