Ca y est ! La Lame de la justice est disponible en Ebook en ce 15 octobre sur Amazon.
4e de couverture :
Il est la Lame de la justice, un guerrier au service des rois et des peuples. Sous son armure, nul ne connait sa véritable identité. Dans sa quête de justice, il parcourt les routes du royaume de Malker.
Mais ses adversaires ne sont pas seulement de chair et de sang : la magie est partout et peut être mal utilisée. Les mages ou les faux dieux sont autant de menaces pour les opprimés. La Lame va devoir utiliser tous ses talents pour en venir à bout.
Contient deux nouvelles dans le même univers : La Lame et de la justice et Unique et sans reflet.
Cet ouvrage est un mini-recueil de Fantasy épique, qui contient deux nouvelles. Il introduit un combattant légendaire, la Lame de la justice, un guerrier sans visage qui arpente le royaume de Malker. On y suit alternativement Faren, un jeune paysan-soldat dans une armée en déroute, et Manarra, une prêtresse qui tente de sauver son peuple. Ils vont tous deux partager les aventures de la Lame.
Ce n'est pas parce que je ne poste pas que je ne m'active pas en coulisses ! En fait, je réalise beaucoup de travail de l'ombre d'auteur, qui je l'espère se verra dans les prochaines semaines/prochains mois.
Une publication : La Lame de la Justice
Ma première publication avec le collectif Soleil Renversé arrive sur Amazon Kindle le 15 octobre 2025 : il s'agit de l'Ebook La Lame de la justice, un mini-recueil de deux nouvelles de Fantasy épique. Vous pouvez d'ors et et déjà le précommander sur Amazon.fr
Après les relectures d'usage, je me suis attelé à découvrir le monde de KDP, aka Kindle Direct Publishing. Le potentiel de choses à faire y est immense : pour la Lame, j'ai dû réfléchir à des mots clés (un exercice pas facile) et préparer tout le nécessaire à une bonne publication en collaboration avec le collectif ; comme auteur, j'ai investi un peu de temps dans ma présentation et la découverte des arcanes de la plate-forme.
Je dois dire que je ne trouve pas l'exercice très évident : comme avec les réseaux sociaux, il semble y avoir tout un folklore autour de KDP qui me laisse plein de questions. Il semblerait que la Lame soit un exercice grandeur nature qui va me permettre de grandir et d'apprendre avant d'autres tentatives courant 2026. Je trouve ce genre de découverte assez stimulante, à voir si je vais pouvoir en faire quelque chose.
Relecture et écriture (un peu quand même)
En parallèle, la relecture va bon train sur l'Affaire Oniki. La moitié du manuscrit a été relue par un relecteur pro qui mène un travail de fourmi (et je l'en remercie). Il y a du volume, plus de 500 000 signes au compteur, donc cela va prendre encore un peu de temps; Le travail sur le 4e de couverture a aussi été lancé. C'est un chantier qui avance bien.
Je ne peux pas en dire autant du reste. L'écriture n'est possible que par courtes phases et tout avance lentement. J'ai plein d'envies, d'idées, mais j'ai trop peur de me disperser. J'essaie de rester concentré sur les projets les plus immédiats afin de les conduire à leur terme.
Dédicaces (passées et à venir)
Dimanche, j'ai dédicacé mes ouvrages et proposé les dessins de mon épouse à la Broc' Land Geek de Haguenau qui s'est déroulée à la Hall aux Houblons.
L'ambiance était calme et posée dans ce format mini (une trentaine d'exposants) dans une grande halle qui a l'habitude d'accueillir les salons de tous genres. J'ai beaucoup apprécié ce format, moins exigeant que les conventions sur deux jours qui sont aussi une épreuve d'endurance.
Côté ventes, cela a bien marché pour moi avec une dizaine de livres vendus et beaucoup de marques-pages également. Monsieur Jean des Étoiles a encore une fois attiré le public. Je continue à en vendre régulièrement, salon après salon, une dizaine par an. Nous approchons tout doucement des 100 ventes papier.
J'ai encore des pistes pour la fin d'année, on verra si j'arrive à effectuer encore une dernière dédicace avant de basculer en 2026.
Comme à chaque épisode de la trilogie de Michael Giacchino, le thème de Spiderman est mis en avant tout au long de l’album. Il structure la BO, de ces moments les plus calmes (Forget me Knots) à ses élans les plus épiques (Sling vs Bling et sa chorale dantesque).
C’est dans Arachnoverture que
Giacchino pousse le curseur le plus loin. Dans cette suite longue de 10
minutes, il lâche l’orchestre dans un morceau de bravoure qui sert de
End Title. Il y joue les thèmes principaux. Bien entendu, celui du
personnage y a la part belle. La piste démarre avec le motif habituel,
avant de s’attaquer au motif des méchants (vers 2:10). Il bascule
ensuite vers le thème de Peter, que j’évoque ci-dessous, avant que notre
Spidey theme se voit offrir une belle version chorale vers 6:40. Et là,
c’est le déchainement ! Près de quatre minutes de virevolte
orchestrale, entre chœurs épiques, pupitres déchainés comme les cuivres.
Le bref retour au calme bascule vers une conclusion version rock
déjanté !
Il introduit dans cet opus ce que l’on pourrait appeler un thème plus personnel à Peter Parker, découvert dans Gone in a flash et qui brille tout au long de l’album grâce au piano soutenu par les cordes (Exit to the lobby, A doom with a view
et son thème de Spidey au violoncelle en contrepoint). Il apparait
ainsi de loin en loin, donnant une autre ligne de structure à l’allbum.
La filiation des deux thèmes Parker/Spidey est particulièrement bien
amenée dans Forget me Knots. C’est encore le piano qui ouvre le
thème de l’Araignée, en mode mineur, puis les cordes lui opposent la
marche lourde du thème de Peter, soutenu par les cuivres. Les mêmes
instruments reviennent sur Spiderman dans la continuité, avec une
chouette fluidité qui commence à les mêler. C’est ensuite le piano qui
revient sur Peter (à partir de 3:05), accompagné des cordes. La chorale
vient rajouter une gravitas bienvenue à l’ensemble. Ils explosent
finalement ensemble dans la dernière minute (5:48), scellant le beau
mariage entre les deux mélodies.
La surprise de cet album est l’apparition
importante du thème de Doctor Strange, à la suite du film sur le
personnage que Giacchino avait également mis en musique. Il est
introduit dès All spells breaks loose. Joué par le hautbois, il
prend de l’ampleur puis gagne en puissance dans une piste extrêmement
maîtrisée, peut-être la meilleure de ce No way Home.
Il apparaît alors régulièrement tout au
long du CD, où il croise les autres thèmes et motifs dans des
oppositions riches et épiques (Sling vs Bling, Shield of Pain).
Le thème de Strange est une grande
réussite du compositeur. Il est riche en nuances tout en gardant une
mélodie identifiable. Les développements qu’il lui apporte ici
l’enrichisse encore à l’image du jeu de réponse entre ce thème et celui
de l’Homme-araignée dans Sling vs Bling. Moins « pompier » que
celui de Spidey, il est le grand gagnant musical de cet épisode.
Car Michael Giacchino
n’a pas hésité à citer Elfman en reprenant les thèmes composés pour les
méchants des Spiderman de Sam Raimi. Elle permet au compositeur de
revisiter des mélodies marquantes comme celle du Bouffon Vert (No good deed, Liberty parlance, Arc reactor) et de Dock Ock (Octo Gone, Otto Trouble).
Dans la piste Shield of Pain, il utilise
aussi une partie du thème de Spidey made in Elfman, tout comme il cite
le thème du héros made in Amazing Spider-Man et composé par James
Horner.
Cette œuvre de synthèse est assez rare
chez Marvel, d’autant que Giacchino n’hésite pas à se citer lui-même en
complément ; il utilise le thème du méchant de l’épisode précédent,
Mysterio, dans la piste Damage Control. L’ensemble est très
cohérent et fait regretter que le studio soit si peu attentif à ces
points dans l’approche de la musique de ses films.
Thème,
thème, thème ! Comme dans cette chronique, c’est la dominante de cet
album bien conçu et prenant où Michael Giacchino nous prouve encore ses
talents. Joueur avec son auditoire, il nous comble avec des mélodies
très variées qui donnent un ensemble riche où les écoutes s’enchainent
pour en découvrir tous les trésors.
Article précédemment publié sur eMaginarock.
Cette musique t'aide à écrire ?
Oh que oui ! J'aime beaucoup les écritures thématiques, elles permettent de se laisser porter par les motifs tout au long de l'écoute. Ça m'arrive parfois de raccrocher un thème à un de mes personnages, ce qui m'inspire alors pour donner une dynamique ou un rythme au récit en rapport avec les accents musicaux. J'attache beaucoup d'importance à la narration musicale dans ce que je choisis d'écouter, cela m'aide aussi pour mon narratif dans les récits.