lundi 2 juillet 2012

Point de passage au milieu de l'année

Ah, le mois de juillet, son soleil, ses vacances... et son petit regard par-dessus l'épaule pour faire le point sur les six premiers de l'année. Si côté personnel, beaucoup de choses bougent, côté écriture, c'est moins le cas...




Côté nouvelles :

Peu de réponses à des Appels à Textes cette année. Sur quatre tentatives de rédiger/reprendre une nouvelle, seules deux sont arrivées aux comités de lecture :
- La nouvelle Vale, soumise et acceptée par le comité de lecture des Songes du Crépuscule.
- L'amour au menu nouvelle version, soumise aux éditions Malpertuis pour leur quatrième appel à texte annuel. Réponse pendant l'été ou début septembre, probablement en fonction du nombre de textes reçus.

La nouvelle Rue des étoiles devrait également être publiée sur blog dans peu de temps. J'y reviendrai dans un prochain article.

Je ne vise pas d'AT particulier dans les semaines à suivre...

Côté articles :

J'ai soumis aux Songes du Crépuscule un court article sur Notre Mémoire et le Futur. Je n'ai pas reçu de retour pour le moment.
Je commence également à plancher sur quelque chose de plus consistant avec un article sur les Femmes dans le cycle arthurien, projet qui sera peut-être rattaché à un webzine.

Côté projets (Tdt, autre) :

Le Temps des Tyrans compte actuellement, dans la partie que je retravaille, 378 000 signes environ. Je n'avance plus du tout comme je le voudrais, ce qui est source de frustration. A force d'avoir la tête dans le guidon dans mon boulot, je suis atteint du même syndrome pour l'écriture. J'espère que les vacances qui approchent seront sources d'un déblocage pour boucler une relecture qui devient pesante. Actuellement, je chipote, je modifie des endroits, d'autres, je rererere-travaille mais je dois vraiment apprendre à dire stop, quitte à repasser dessus après la première relecture d'un tiers.

Afin d'alléger la prise de tête, je me suis remis à mon projet "Antiquité", de la Fantasy historique période romaine, sur laquelle j'accumule 167 000 signes environ. Là, c'est plus simple, tout est à faire, c'est surtout l'aspect non-prise de tête d'attaquer un terrain relativement neuf et vierge. Ce projet là me permet surtout de garder un "rythme d'écriture", comprendre écrire régulièrement pour ne pas tomber en panne sèche d'inspiration, la hantise de l'auteur amateur que je suis.

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